En tant que travailleur autonome, j’offre des services sous trois grandes catégories.
- Vulgarisation scientifique
- Analyse et visualisation de données
- Services climatiques
1. Vulgarisation scientifique
J’aime communiquer la science. Expliquer la science issue de mes propres travaux ou celle provenant d’autres sources.
J’adapte mon style d’écriture au public visé, qui peut être composé de scientifiques de mes domaines d’expertise ou non, ou encore du grand public.
Concevoir soigneusement des schémas scientifiques explicatifs contribue à une communication scientifique réussie, tel qu’illustré sur ce schéma montrant les localisations des cinq points de Lagrange-Euler.
2. Analyse et visualisation de données
J’apprécie le défi que représente l’analyse de grands ensembles de données et la production de graphiques permettant de visualiser les résultats les plus marquants issus de l’analyse de ces ensembles.
J’apprécie particulièrement la production de cartes, comme celle-ci qui montre la vitesse verticale de la croûte terrestre dans l’Est du Canada. Le mouvement vertical du sol est un des facteurs influençant la hausse du niveau relatif de la mer.
3. Services climatiques
Les pays, provinces, états, territoires et municipalités ont besoin de produits climatiques faits sur mesure pour les aider à prendre des décisions éclairées et ainsi mieux s’adapter aux impacts des changements climatiques.
Au cours de ma carrière au sein du gouvernement du Canada, j’ai fourni des conseils scientifiques sur les impacts des changements climatiques sur les pêches et les communautés côtières du Canada. J’ai eu le privilège de représenter le Canada à deux reprises aux réunions du GIEC pour l’approbation des résumés à l’intention des décideurs : d’abord en 2019 pour le rapport spécial du GIEC sur l’océan et la cryosphère, puis en 2021 pour le sixième rapport d’évaluation du GIEC sur les bases scientifiques physiques du changement climatique.
En 2019, j’ai rédigé un article de vulgarisation scientifique sur les impacts prévus des changements climatiques à Rimouski, la ville où j’habite dans la région du Bas-Saint-Laurent (Québec, Canada). Ces projections climatiques étaient fondées sur le cinquième rapport d’évaluation du GIEC (5e rapport d’évaluation).
